Bonsoir,
A partir de quel âge faut-il commencer à faire attention à ce qu’on mange ? Est-ce que c’est dès l’adolescence ou bien il est possible de manger un peu n’importe quoi sans trop de conséquences jusqu’à un certain âge ?
Je me demande aussi si ça change selon les personnes ou si c’est plutôt lié à des étapes de la vie, comme la vingtaine, la trentaine, etc. Bref, je suis curieux de savoir ce que vous en pensez car j’ai l’impression que je ne peux plus manger comme avant. J’ai l’impression que mon corps se rebelle (désolé si je ne dis pas mon âge, je préfère rester discret).
Voilà qui est bien dit.
Pour ce qui me concerne je dirais que j’ai pu me permettre de “la jouer flemme” jusqu’à la cinquantaine, et qu’ensuite les choses sont moins automatiques. Je dois par exemple mettre en œuvre des stratégies pour évaluer quand je n’ai pas mangé assez, ou que je n’ai pas bu assez (et selon une lecture d’il y a quatre ou cinq ans ça concerne beaucoup de monde dans cette tranche d’âge, largement plus que ce que les généralistes veulent admettre).
Si on a vraiment fait l’andouille la transition peut être rude, sinon il faut simplement commencer à faire attention. Plus ou moins, ça effectivement on a des signaux, que parfois on comprend vite, parfois pas. Par exemple si on sent des coups de marteau de l’intérieur, ce n’est pas complètement intuitif comment réagir. Bon là c’était une boîte de vitamines, mais qui va de pair avec un suivi régulier.
Et je partage avec pas mal de monde le constat qu’en matière de médecins nous ne sommes pas trop bien lotis, pour des raisons tristement politiques. Donc, il faut vraiment se documenter sur le fonctionnement du corps humain, et on arrive à avoir une amélioration selon la qualité de la synthèse dont on est capable.
Chacun a des points faibles spécifiques, et doit donc se documenter en priorité là-dessus. Ensuite, sur ce qu’on n’a pas réussi à améliorer soi-même, il faut réussir à déterminer quel médecin consulter, et quoi lui dire. Attention d’améliorer l’état général suffisamment vite pour être capable de soigner les points spécifiques.
Je note que la question est publiée dans la catégorie nutrition. Effectivement des négligences dans le régime alimentaire peuvent coûter cher plus vite qu’on ne se le représente. Mais la vigilance doit aussi s’appliquer à d’autres points, comme l’exercice physique, la qualité de la respiration, entre autres.
Quelques changements sont rudes à encaisser (dans ce que je disais qui n’est plus automatique), et chacun a son propre équilibre, pour la production de ce qu’on appelle les hormones du bonheur, comme la mélatonine. Quand l’ensemble tire trop vers le bas il est temps de trouver le moyen de tirer vers le haut ou ça peut mal se terminer.
Il peut alors être nécessaire de mettre en œuvre des outils comme la pensée positive par exemple. Pour schématiser on peut dire que ça consiste à prendre la vie du bon côté, sauf qu’au-delà d’un point c’est plus technique que ça. Arrivés là un moteur de recherche pourra vous être utile. Par chance, quand il y a le feu on trouve plus vite les tuyaux.